Parce que, en grec ancien comme en grec moderne, skepsis signifie examen, réflexion même si ce mot évoque surtout dans nos langues européennes le scepticisme.

Très souvent, quand il s’agit d’imaginer l’avenir, d’innover ou de transformer, tout en partant d’une ambition, d’une intention, d’une idée qui leur sont propres, les dirigeants d’entreprise confient à des tiers, collaborateurs ou conseils, le soin de proposer, développer et finalement de mettre en oeuvre.

C’est particulièrement vrai dans le domaine technologique où leur compréhension intuitive, plus ou moins correcte des enjeux et des risques, et aussi du facteur temps, conduit fréquemment à des investissements lourds dont les résultats ne sont pas au rendez-vous au moment attendu.

A l’expérience, je trouve que les projets de transformation ne sont pas assez challengés, que trop d’hypothèses parfois peu fondées sont à la base du raisonnement, qu’il y a souvent un manque de conception dans les projets et que la description de l’objectif poursuivi tient lieu de principes au coeur du projet.

Une « proof of concept », si elle répond bien à l’objectif de tester l’acceptabilité d’une solution et d’un concept, pour des usagers ne préjuge en rien de l’organisation nécessaire et des systèmes nécessaires à un déploiement à grande échelle.

L’action rapide ne doit pas faire oublier le besoin d’examen approfondi, et c’est l’ambition de skepsis d’aider à cet examen, à bien tester les hypothèses retenues, à se faire l’avocat du diable pour évaluer la solidité des principes et à identifier les principaux obstacles à surmonter.

Je pense donc je suis …

… un dirigeant qui après avoir passé plus de quarante années dans les industries du service, IT, téléphonie, banque, assurance et assistance, souhaite transmettre son expérience et en faire bénéficier quelques entreprises dans le cadre de leur projet de transformation.

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pierre@skepsis.fr